Derrière cette expression commune se cachent en réalité l’ensemble des frais d’acquisition composés à 80 % des impôts et taxes qui reviennent à l’État et aux collectivités locales.
Viennent ensuite les frais et débours, environ 10 %, qui financent l’ensemble des frais engagés pour constituer le dossier : demande de documents au syndic, au service de l’urbanisme, publicité foncière…
Pour environ 8,5%, il y a tous les frais liés aux formalités réalisées par l’office notarial pour réaliser l’acte de vente.
La rémunération de l’office n’atteint donc, en réalité, qu’environ 1% du prix d’acquisition.